Les mains quittèrent le corps de Rose, qui ouvrit brusquement les yeux. Elle n'avait pas remarqué qu'elle les avait fermés. Les deux déménageurs se tenaient devant elle et la regardaient comme des ours affamés. C'était sa chance de s'enfuir. Rose tenta de s'enfuir en courant, mais Isaac l'attrapa par la taille nue et la tira en arrière, lui donnant des coups de pied. Il lui saisit les poignets et lui enroula les bras devant elle, comme un jeune couple lors d'un bal. Elle ne pouvait pas s'échapper.

« Non, non, non, Rose ! Tu dois regarder », la nargua-t-il à l'oreille en la tenant fermement. Des frissons lui parcoururent l'échine et l'empêchèrent de se débattre inutilement. Les yeux des déménageurs continuaient de parcourir le corps nu de Rose tandis qu'ils se déshabillaient. Rose regardait, impuissante, leurs poitrines épaisses et durcies se dévoiler sous leurs chemises de travail et leurs jeans jetés de côté.

« Ils attendent depuis longtemps une fille pour se reproduire... », dit Isaac.

Le cœur de Rose s'arrêta. « Se reproduire ? » « Qu'est-ce que ça veut dire, bordel ? »

« Mhmmm », fredonna-t-il à son oreille en désignant les deux hommes nus. « Ce n'est pas surprenant qu'ils soient doués, n'est-ce pas ? » Les yeux de Rose la trahirent et regardèrent : ils étaient tous les deux montés comme des taureaux, leurs bites épaisses et veinées, avec des testicules pendants comme des pierres. Isaac resserra son emprise alors que Rose recommençait à se débattre. « Ha ha, j'imagine que tu aimes ce que tu vois, alors, hmmm ? »

« Non ! Ils sont... ils sont dégoûtants ! » Mais Rose continuait à fixer leurs membres. Elle se rendit compte que sa bouche était légèrement ouverte et qu'elle respirait fort. Isaac aussi.

« Allons, allons, Rose. Ne dis pas de méchancetés à mes garçons. Tu pourrais les blesser ! » Les deux hommes rirent et caressèrent leurs membres flasques pour les ranimer devant elle.

Rose ne pouvait nier qu'elle était impressionnée – non, plus que ça, elle voulait leurs bites. Elle avait besoin qu'elles soient en elle. Elle était incroyablement excitée, même si ces hommes avaient l'intention de la violer – de la « féconder ». Et elle ne pouvait pas le leur cacher non plus, pas avec sa chatte humide bien en évidence.

« Lâchez-moi tout de suite, bande de salauds ! » Rose avait l'intention de rugir, mais ses mots sortirent plutôt sous forme de gémissements.

Les hommes rirent, et Isaac tira ses mains plus bas sur son ventre. « Je ne pense pas qu'on va faire ça tout de suite, dit-il, on va prendre soin de toi pendant un moment, Rose ! » Isaac la lâcha et la poussa vers les deux hommes costauds. Rose poussa un cri lorsqu'ils reprirent leurs caresses brutales, malaxant ses seins et passant leurs paumes le long de sa chatte, leurs bites durcissant contre elle.

« Uhhhhhhmmm », gémit Rose en se tortillant encore plus. Elle se rendit compte qu'elle avait refermé les yeux sous l'assaut agréable. Leurs mains pinçaient et frottaient son corps nu, n'hésitant pas à presser ou à caresser ses parties les plus intimes. Elle pouvait sentir leur désir dans la façon dont leurs bites durcissaient contre elle, rampant le long de ses hanches comme des serpents affamés.

Rose continuait à se débattre, mais c'était une bataille perdue d'avance dans son esprit. « Pourquoi est-ce que j'aime ça ? » se demanda Rose frénétiquement alors qu'une terrible excitation grandissait dans sa poitrine et entre ses cuisses. Son corps semblait lui répondre :

« Tu en as envie, Rose. Tu en as besoin. Une bonne baise avec ces hommes forts... »

Même si elle essayait de lutter, Rose sentait son jus couler et ses tétons effleurer leurs mains qui continuaient de la caresser. Lorsqu'elle ouvrit les yeux de force, elle vit Isaac jeter sa chemise. Elle le fixa alors intensément.

« Je suppose que tu aimes ce que tu vois, hein ? » Isaac se retourna vers la femme stupéfaite. Rose vit son torse nu, musclé par bien plus que le fait de soulever des lits et des tables pour gagner sa vie. Ses muscles se contractaient à chaque mouvement fluide de ses bras. Sa silhouette parfaite rayonnait de force, et son regard vers Rose était celui d'un désir pur, celui d'une proie précieuse, d'un jouet avec lequel on allait s'amuser.

« Oui... », souffla Rose, l'esprit soudainement apaisé.

« Ha ! C'est la première réponse honnête que tu m'as donnée jusqu'à présent », rit Isaac, imité par les hommes qui la retenaient – un rire profond qui fit Rose se sentir toute petite, comme un simple jouet entre leurs mains. Elle respira encore plus fort lorsqu'il poursuivit : « Et tu n'as pas encore tout vu, Rose... »

Rose pensait qu'il pourrait simplement déchirer son jean de travail avec ses bras puissants, mais il le déboutonna lentement, faisant se tortiller Rose d'anticipation malgré tous ses efforts pour résister. « Tu as déjà vu des hommes nus ! Ne perds pas la tête ! » Mais ses pensées étaient embrouillées par le frottement de son clitoris, le souffle chaud qui soufflait sur son cou et le besoin lancinant qui grandissait au creux de son ventre.

Elle avait déjà vu des hommes, Rose le savait, « mais pas des hommes comme ça... »

Le contremaître déboutonna son jean et se déshabilla d'un seul mouvement. Il se tenait debout devant Rose, un sourire narquois sur les lèvres. « Regardez les gars, je crois que Rose a vu quelque chose qui lui plaît vraiment ! »

Il avait raison : le cœur de Rose faillit s'arrêter à la vue de sa virilité. Il était bien membré, très bien membré : son sexe veiné pendait entre ses jambes, ses testicules pendaient plus bas, à la base de son sexe, lourds du poids de leur charge sans doute énorme. Les bites des autres étaient plus trapues et plus grosses, tandis que la sienne était plus longue et toujours aussi épaisse. Il surpassait de loin ses collègues par sa symétrie et sa splendeur : les leurs étaient des bites de taureaux, mais la sienne était celle d'un étalon.

« Oh mon Dieu... » Un besoin intense parcourut tout le corps de Rose. Elle se sentait brûlante, brûlante à cause des hommes qui frottaient leurs membres durcis contre elle, brûlante à cause du regard de loup d'Isaac sur son corps, et brûlante à cause du désir brûlant qui faisait couler sa chatte le long de l'intérieur de ses cuisses. Rose avait cessé de se débattre. Ses genoux étaient faibles et prêts à céder à tout moment. Elle ne pouvait pas s'en empêcher. Sa résistance faiblissait.

« Mmm, je crois que Rose veut nous goûter, les gars. » Rose ne bougeait pas, même si une petite partie d'elle voulait acquiescer. Une plus grande partie voulait crier. Isaac passa sa main le long de son membre et regarda Rose dans les yeux. « Il est temps de te mettre à genoux, Rose. »

« Non.

« Je t'ai dit de te mettre à genoux », répéta-t-il en continuant de caresser son sexe.

« Non ! » Rose le fixa du regard, essayant de résister à l'envie de regarder son sexe qui grossissait.

« Très bien, Rose. Comme tu veux. » Les deux hommes saisirent Rose par les épaules. Rose ne put résister lorsqu'ils la poussèrent à genoux sur le sol. « C'est vraiment en train d'arriver ! » pensa Rose, paniquée, alors que les deux hommes la maintenaient au sol. Elle se débattit en vain alors qu'Isaac s'approchait. « Je vais vraiment me faire violer ! »

C'était vraiment en train d'arriver. Les fantasmes de Rose envahissaient la réalité, la rendant étourdie d'excitation et de peur. Elle tremblait, les hommes sexy qui l'entouraient caressaient leur virilité épaisse devant ses yeux grands ouverts. Ce n'était pas un rêve. Elle respirait fort, leur odeur musquée était épaisse et lourde tout autour d'elle.

Isaac attrapa le menton de Rose et la força à le regarder. « Maintenant, Rose, tu vas être une gentille fille et nous sucer tous. Tu vas bien t'en sortir, j'en suis sûr. Et n'oublie pas : les gentilles filles ne pensent même pas à mordre... » Il lui saisit la mâchoire avec un peu plus de force, et Rose comprit qu'il était sérieux. Il la relâcha doucement, mais elle sentait encore ses joues picoter. « Allez, Rose, fais ton choix. »

Rose regarda autour d'elle. Les trois hommes l'entouraient, caressant lentement leurs bites et les pointant vers ses lèvres boudeuses. Ils devenaient durs, et Rose regardait leurs veines gonfler et leur longueur augmenter tandis qu'elle les regardait et respirait sur eux. Elle hésita : « Je ne devrais pas faire ça. Je ne peux pas faire ça ! Ils en voudront encore plus... » pensa-t-elle, mais son cœur battait à nouveau à toute vitesse et elle se surprit à respirer plus profondément, non pas pour prendre de l'air, mais pour s'imprégner de leur odeur musquée et enivrante. La chatte de Rose picotait. Elle avait l'eau à la bouche.

« Ne nous fais pas attendre, Rose... », avertit Isaac. Rose leva les yeux vers le contremaître, puis vers sa bite. Son gland magnifique dégoulinait déjà d'anticipation. Elle se pencha lentement en avant, le regardant fixement, ouvrant lentement la bouche. Elle devait le faire, essaya-t-elle de se convaincre. Elle goûta son liquide pré-éjaculatoire salé lorsque son gland effleura sa langue. Elle referma ses lèvres sur son sexe.

Elle commença à faire des va-et-vient, prenant sa bite un peu plus profondément à chaque fois. Elle essaya de continuer à fixer Isaac, pour lui montrer qu'elle détestait chaque instant, mais elle sentit ses yeux se révulser à plusieurs reprises - était-elle en train d'aimer ça ? « Non ! » se dit-elle, et elle lui lança un regard noir. Bientôt, elle sentit le gland de sa bite effleurer le fond de sa gorge à chaque fois qu'elle descendait sur lui, et ses lèvres n'étaient même pas à mi-chemin de son sexe...

« Mmmm, je savais que tu serais douée pour ça », gémit Isaac, immobile tandis que Rose engloutissait sa queue, en parfait gentleman. « N'oublie pas les garçons, je suis sûr qu'ils aimeraient aussi sentir tes petites mains sur eux. » Des grognements profonds approuvèrent de chaque côté de Rose. Elle lança un regard noir à Isaac tout en fouettant son sexe avec sa langue, mais elle tendit les mains et saisit leurs bites, les caressant lentement tout en dévorant le contremaître.

Il était difficile de donner du plaisir à trois hommes à la fois. Dans ses fantasmes, c'était beaucoup plus facile : leurs mains emmêlaient ses cheveux et lui tenaient les épaules, la caressaient et l'encourageaient tandis qu'elle avalait leur pré-éjaculation chaude et léchait leurs queues. La réalité s'avérait plus difficile, mais la dureté des vrais hommes qui grandissaient et pulsaient dans ses mains et la chaleur de la queue d'Isaac qui glissait dans sa bouche étaient... meilleures. Oh, bien meilleures.

Rose roula à nouveau des yeux, suçant la longueur d'Isaac avec abandon. « Oooooh, gémit-il, maintenant tu y prends goût ! Uhhmmm, va goûter les autres avant de boire mon sperme, hein ? » Rose lâcha la bite d'Isaac avec un bruit de succion et se tourna vers un membre imposant qui la fixait.

Rose fit glisser sa langue sur toute sa longueur, saisissant la bite luisante d'Isaac tout en embrassant son gland. L'homme gémit au-dessus d'elle, et elle sentit une giclée de liquide pré-éjaculatoire recouvrir sa langue - il avait un goût différent de celui du contremaître, plus salé et amer, mais elle savoura ce contraste.

Rose eut soudain envie de tous les goûter. Elle lâcha la bite de l'homme après seulement quelques coups de reins, et celle-ci trembla comme une planche de bois tandis qu'elle embrassait le gland de l'autre homme. Le goût était plus sucré, et elle adorait la façon dont il coulait dans sa gorge alors qu'elle le prenait presque entièrement en bouche. Elle passait d'un homme à l'autre, les suçant et les léchant, s'éloignant de leurs bites pour reprendre son souffle avant de s'y replonger.

Les hommes la caressaient, gémissaient, poussaient leurs hanches et enfonçaient leurs bites plus profondément dans sa bouche. Elle sentait leurs bites devenir encore plus gonflées et dures alors qu'elles frottaient contre ses joues, et sentait sa chatte gicler alors que le liquide pré-éjaculatoire coulait dans sa gorge et sur ses mains. Leurs grognements, et surtout les grognements fredonnés d'Isaac, remplissaient la pièce. Le fantasme de Rose n'était rien : la réalité était bien meilleure, et elle s'oublia, sentant leur pré-sperme chaud couler sur ses lèvres et goutter sur ses seins...

Elle avalait la bite d'Isaac, branlant les membres luisants de salive des autres hommes quand ils en avaient assez. Remise sur ses pieds, la jeune fille étourdie fut pressée par deux hommes en rut. Isaac recula et laissa Rose gémir là, ses seins pressés contre les pectoraux durs d'un homme et son cul frottant le serpent palpitant de l'autre. Leurs bites glissantes frottaient le long de sa fente humide et entre ses fesses tendues. Rose gémit : elle était au paradis.

Rose jeta un coup d'œil par-dessus une large épaule et vit Isaac caresser sa bite parfaite et luisante. « Mmmm, je crois que Rose est enfin prête à être fécondée, les gars ! »

Le cœur de Rose bondit dans sa gorge. Comme une poupée, la petite fille fut jetée sur le lit, fraîchement préparé quelques minutes auparavant dans sa naïveté. Les deux hommes étaient à nouveau sur elle, caressant leurs bites dures sur ses cuisses et son ventre. Elle ne pouvait pas les arrêter, et Rose ne savait pas si elle voulait qu'ils s'arrêtent. Sa chatte rose et humide était prête pour lui. Pour eux tous.

Un homme l'écartela, sa grosse queue sciant sa fente de haut en bas. Rose gémit en poussant contre son torse, dans un effort vain pour repousser cet homme viril. Elle le sentit trouver son chemin, le gland épais et bulbeux de sa queue frappant le bord de son entrée étroite. Rose savait qu'il suffirait d'un seul coup, d'un petit mouvement de ses hanches, pour qu'elle soit empalée sur son membre raide et nu. Totalement sans défense. Elle enfonça ses ongles dans son torse, le sentant commencer à glisser en elle...

Puis il se retourna sur le dos. Rose haletait à califourchon sur lui, mais elle eut le souffle coupé lorsqu'elle sentit les muscles chauds et puissants du deuxième homme appuyer contre son dos. « Ahh-AHH !! » Rose poussa un cri lorsque l'homme sous elle tira ses hanches vers le bas. Elle sentit son membre épais s'enfoncer dans sa chatte serrée et sentit l'autre bite dure glisser le long de sa colonne vertébrale tendue. Rose faillit s'évanouir, le cœur battant à tout rompre et l'esprit tournant à toute vitesse. La chaleur, la pression, la réalité de sa baise commencèrent à la gagner.

Ils commencèrent à la baiser. L'homme en dessous souleva les hanches tremblantes de Rose avant de la ramener brutalement sur son membre qui la pénétrait. L'homme derrière elle frotta sa bite gluante de haut en bas, entre ses fesses fermes et le creux de son dos. Ils ne lui accordèrent aucun préliminaire, aucun temps pour s'habituer. Leur rythme s'accéléra jusqu'à devenir effréné, les coups se succédant à un rythme effréné, et les petits gémissements impuissants de Rose remplirent l'air.

« N-non, uhhh... Arrêtez, s'il vous plaît... ughmmm ! »

Mais les supplications de Rose étaient trahies par ses gémissements de luxure. Des mains dures s'emparèrent de ses seins par derrière. Les doigts brûlants glissèrent sur ses tétons et la tirèrent en arrière pour que son corps se frotte contre le torse musclé de l'homme. Rose baissa les yeux. Sa chatte s'agrippait à la bite épaisse et veineuse qui était en elle. Elle regarda le membre émerger lorsqu'il la souleva, et poussa un cri lorsqu'il força sa petite chatte à accueillir chaque centimètre de sa virilité enragée. Aucun des deux hommes ne relâcha son assaut, se contentant d'amplifier leurs coups puissants en elle. Même si elle se débattait, Rose sentit son corps trembler et céder à leur baise impitoyable, puissante et interminable.

« Oh mon Dieu ! Je jouis ! » gémit Rose. Sa chatte se resserra autour du membre dur en elle. Son vagin palpita et se contracta, se resserrant comme un étau autour de sa bite qui continuait de la pénétrer. Elle pouvait la sentir palpiter en elle, forte et rapide. Son sperme coulait le long de ses cuisses, recouvrant son membre déjà trempé d'une couche de liquide chaud.

« Et ce n'est que le début, tu sais. » Rose haleta pour reprendre son souffle et ouvrit les yeux. Isaac la dominait, debout sur le lit, tandis qu'elle regardait sa bite, presque à la hauteur de ses yeux. Il lui saisit le menton et lui releva la tête, car elle était trop faible après ses frissons post-orgasmiques pour le faire elle-même.

« Qu'est-ce que... qu'est-ce que tu veux dire... uhhh ! » haleta Rose, tandis que les hommes continuaient à frotter leurs bites contre elle et en elle. Elle ne pouvait presque plus le supporter, sa chatte brûlant à cause de la baise et de son excitation grandissante.

« Ce n'est que le début de ta mise en gestation », dit-il en caressant ses joues rougissantes. « Oh Rose, ne fais pas cette tête, tu savais que ça allait arriver dès le début. »

« M-mise en gestation ?! Mais je n'ai pas... Ahhh ! » Rose cambra le dos : l'homme derrière elle lui pinçait les tétons particulièrement fort. Délicieusement fort...

« Oh si, tu l'as fait ! J'ai vu la façon dont tu nous regardais, mes garçons et moi, quand tu pensais qu'on ne te voyait pas. Tu voulais qu'on te baise. Tu étais déjà mouillée et prête avant même qu'on te touche. Tu dis non, mais ton corps veut être fécondé... » Rose sentait leurs mains partout sur elle, caressant ses cuisses en sueur, ses seins haletants, son ventre plat...

« Je... Je ne prends pas la pilule... Je ne peux pas être mise enceinte. Je ne peux pas tomber enceinte ! » Sa voix tremblait, une peur glaciale se mêlant à ses vagues de plaisir brûlant.

« En fait, ça nous facilite beaucoup les choses », dit Isaac en regardant Rose dans les yeux tandis qu'il caressait son membre gonflé. « Tu verras bien à quel point c'est facile très bientôt... »

Rose ne pouvait pas répondre. L'homme en dessous souleva le corps frissonnant de Rose de sa queue, et l'homme derrière elle la pencha en avant. À peine eut-elle senti la grosse virilité autrefois enfouie dans sa chatte glisser contre son monticule qu'elle sentit le gros gland de l'homme derrière elle la pénétrer. Immédiatement, ils renouvelèrent leur assaut, maintenant Rose penchée en avant, hurlant comme une chatte en chaleur.

« Oh, pitié... Ahhhh !! » Sa bouche était grande ouverte, l'intensité d'un autre membre épais s'enfonçant en elle la submergea, obscurcit ses pensées, étouffa sa peur.

« Nous allons bien prendre soin de toi, Rose. » Elle leva les yeux et vit Isaac caresser son membre majestueux au-dessus d'elle. « Et je suis sûr que tu prendras bien soin de nous... » Il caressa le manche sur les joues de Rose avant de tapoter le gland sur ses lèvres retroussées.

Elle ne réfléchissait plus lorsqu'elle leva la tête et prit sa bite en bouche, ni lorsque l'homme derrière elle la pilonnait de plus en plus fort contre ses fesses. Elle était trop loin, perdue dans un océan d'extase provoqué par ces trois hommes qui la prenaient. Sa chatte serrait la bite du deuxième homme plus fort qu'auparavant. Elle enfonça ses ongles dans le torse musclé de l'homme sous elle. Elle lécha la longue verge d'Isaac de la base jusqu'à son gland dégoulinant, savourant le goût, le mouvement, la baise.

« Je suis en train d'être fécondée... » Les mots d'Isaac la frappèrent soudainement, la brisant comme un miroir brisé. Elle ne pouvait que les repasser en boucle dans sa tête.

« Je suis en train d'être fécondée... » L'homme derrière elle la pénétra brutalement, une main lourde agrippant son épaule alors qu'il s'enfonçait tout entier en elle. Elle gémit bruyamment et se cambra en arrière.

« Je suis en train d'être fécondée... » – L'homme en dessous, sa queue luisante de son jus, la pénétrait sans relâche, de son monticule rasé jusqu'à son nombril, sa queue et ses couilles frottant son clitoris à chaque coup. Rose se cambrait contre lui avec avidité.

« Je suis en train d'être fécondée. » – Isaac enfonça sa queue profondément dans sa bouche, sa virilité palpitant fort alors qu'il déversait son sperme fertile dans la gorge de Rose. Tous ses gémissements étaient étouffés par son membre épais et viril.

« Je suis en train d'être fécondée ! » Cette pensée mêlait une terreur à couper le souffle et une excitation qui faisait frémir son sexe. Elle ne pouvait s'en empêcher. Elle ne pouvait s'empêcher de se sentir totalement possédée, si féminine, si complètement contrôlée par ces hommes puissants. Elle leur appartenait. Elle était leur jouet sexuel.

Rose sentait les hommes qui l'entouraient, leurs corps musclés la prenant, la baisant, l'utilisant.

Elle était en chaleur et avait besoin d'être fécondée. La sensation familière de tension envahit son ventre, et avec un frisson qui la parcourut de part en part, elle jouit à nouveau, sa chatte fertile se contractant fortement. Son cri étouffé et guttural résonna autour du sexe d'Isaac enfoui dans sa gorge. « Mmmm ! Oui, tu commences à y prendre goût, n'est-ce pas ? » Isaac rit et retira son sexe de sa bouche.

Rose s'affaissa, haletante, encore sous le coup de son puissant orgasme. Les deux autres hommes s'arrêtèrent également. Rose haleta lorsque l'homme retira sa bite de sa chatte affamée, et soupira faiblement lorsque l'homme en dessous d'elle la retourna sur le dos. Elle vit Isaac s'agenouiller au-dessus de sa tête, le dessous de sa bite encore dure remplissant son champ de vision. Il tapota pensivement le bout de sa bite sur ses lèvres roses.

« Alors, dit-il, tu aimes ça jusqu'à présent ?

« S'il te plaît, » le cœur de Rose battait à tout rompre alors qu'elle reprenait ses esprits, « S'il te plaît... S'il te plaît, arrête, Isaac... » Elle leva les yeux vers lui. Elle essaya de le convaincre malgré les frissons orgasmiques qui la parcouraient encore.

« Arrêter ? Mais tu ne veux pas qu'on arrête. » Les autres hommes étaient maintenant à ses côtés, caressant ses seins haletants et son ventre plat. Rose ne pouvait nier que c'était agréable, mais elle prit une inspiration pour s'empêcher de gémir.

« Tu t'es bien amusée. Finis et va-t'en », dit Rose, blessée dans son orgueil, honteuse de ses pensées lubriques, mais elle ne voulait pas être vaincue.

Sa chatte était endolorie, ses tétons étaient durs au point d'en être douloureux et ses fesses étaient rouges à force d'avoir été frappées. Sa peau pâle était couverte de gouttes de sueur, tout comme celle des hommes bronzés qui l'entouraient. Mais elle voulait que ça se termine, même si son corps en redemandait. « Le plaisir ne fait que commencer, surtout pour toi, Rose », dit Isaac avec un sourire grandissant.

Elle sentit l'homme à sa gauche s'écarter, puis elle fut retournée sur le ventre par l'autre. L'homme se plaça derrière elle et la tira par les genoux, soulevant son cul pour le mettre à la hauteur de sa bite dure. Rose se redressa à l'aide de ses bras, mais elle ne parvint pas à échapper à l'emprise de l'homme sur ses hanches.

« Prends un préservatif », tenta-t-elle d'ordonner, mais elle n'entendit qu'un rire grave derrière elle.