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Mère rêveuse

4 juillet 2025
4.5
(52)
11 min de lecture
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Valérie fait sans cesse des rêves érotiques avec son fils.

Hugo entra dans la cuisine, son regard immédiatement attiré par sa mère, Valérie, qui était penchée pour prendre quelque chose dans le placard. Son jean moulait parfaitement ses fesses et il pouvait voir la courbe de ses seins généreux de derrière. Il sentit une agitation dans son pantalon et s'approcha d'elle, la voix basse et rauque.

« Maman, tu as une minute ? » demanda-t-il, les yeux rivés sur son corps.

Valérie se redressa et se tourna vers lui, un sourire entendu sur les lèvres alors qu'elle remarquait la bosse dans son pantalon. « Bien sûr, mon chéri. Qu'est-ce que tu veux ? » demanda-t-elle d'une voix taquine.

Soudain, il l'attrapa par la taille et la tira vers lui, ses mains serrant ses fesses. « J'ai besoin de te baiser, maman », dit-il d'une voix rauque et désespérée.

Valérie haussa un sourcil mais ne résista pas lorsqu'il la poussa contre le comptoir. « Ah bon ? » dit-elle, le souffle court alors qu'il frottait son sexe contre elle. « Tu penses que tu peux me dominer ? »

Hugo grogna et la fit pivoter, la penchant sur le comptoir. Il baissa son jean et sa culotte, exposant son cul et sa chatte. « Je sais que je peux », dit-il en lui donnant une fessée.

Valérie poussa un cri, mais il pouvait voir que sa chatte était déjà mouillée. Un instant plus tard, il déboutonna son pantalon et sortit sa bite, la caressant plusieurs fois avant de frotter son gland contre ses lèvres humides. Valérie laissa échapper un petit gémissement. « Tu es un sale garçon », le taquina la femme en poussant ses fesses contre lui. « Tu veux du sale ? Je vais te montrer ce que c'est. Maintenant, tais-toi et prends ma bite, salope », grogna Hugo en la pénétrant d'un coup sec. Valérie cria, ses doigts agrippant le comptoir. Hugo commença à la baiser, ses hanches claquant contre ses fesses alors qu'il la pilonnait. « Putain, tu es serrée », gémit-il, ses mains agrippant fermement ses hanches. « Quelle petite chatte serrée. »

Valérie gémit, se cambrant contre lui pour répondre à ses coups de reins. « Tu aimes ça, n'est-ce pas ? » gémit-elle, le souffle court. « Tu aimes baiser la chatte serrée de ta mère ? »

Hugo grogna, accélérant le rythme. « J'adore ça », dit-il d'une voix tendue. « J'adore la sensation de ta chatte autour de ma bite. »

Valérie gémit lorsque son fils la pénétra avec une luxure animale. « Allez, vas-y », dit-elle d'une voix grave. « Baise-moi comme tu en as envie. »

Hugo s'exécuta, ses hanches bougeant de plus en plus vite et de plus en plus fort. La cuisine était remplie du bruit de leurs chairs qui s'entrechoquaient, de leurs gémissements et de leur respiration haletante. L'odeur du sexe emplissait l'air.

« Putain ! » s'écria Valérie alors que son fils l'étirait. « Tu es tellement gros. »

« Plus gros que papa ? » demanda Hugo, un sourire narquois sur le visage alors qu'il pilonnait sa mère par derrière.

« Oh, mon Dieu, oui. Tellement plus gros ! Et tellement meilleur aussi. » C'était vrai. Au cours de toutes ses années de mariage avec Pascal, il ne l'avait jamais baisée comme ça. C'était si brut. Si primitif.

Valérie gémit lorsque Hugo accéléra le rythme, la pénétrant frénétiquement encore et encore. Hugo sentait son orgasme monter, ses couilles se contracter.

« Putain, je vais jouir », grogna-t-il, ses mains agrippant ses hanches si fort que cela en était presque douloureux. « Je vais jouir dans ta chatte, maman. »

Valérie gémit, son propre orgasme la submergeant lorsqu'elle entendit ses mots. « Vas-y », dit-elle d'une voix désespérée. « Éjacule dans ma chatte, Hugo. Remplis-moi. Engrosse-moi. Engrosse ta mère ! »

D'un dernier coup puissant, Hugo jouit, sa bite palpitant alors qu'il déversait son sperme en elle. Valérie cria en sentant le sperme de son fils en elle, la remplissant. Elle savait que c'était un jour risqué pour faire l'amour. Alors que la bite d'Hugo palpitait encore et encore, la remplissant de plus en plus de son sperme brûlant, la femme ne put s'empêcher de sourire, sachant qu'il venait peut-être de la mettre enceinte. Hugo resta ainsi un moment, son corps encore tremblant sous l'effet de son orgasme, avant de se retirer enfin et de reculer d'un pas.

Valérie se leva et se tourna vers lui, un sourire satisfait sur le visage. « Eh bien, c'était... intense », dit-elle en remontant son jean. Elle se pencha vers Hugo et laissa ses lèvres rencontrer celles de son fils dans un baiser profond.

Après leur baiser, Hugo sourit, remettant sa queue dans son pantalon. « Oui, ça l'était », répondit-il, la voix encore rauque. « On recommence quand tu veux. »

Valérie se redressa brusquement dans son lit, désorientée. Ses yeux balayèrent la chambre plongée dans l'obscurité. Ce n'était pas sa cuisine. Hugo était introuvable. Elle cligna plusieurs fois des yeux avant de poser le regard sur son réveil. Il était un peu plus de cinq heures du matin. Le doux ronflement de Pascal, qui dormait à côté d'elle, l'aida à rassembler ses esprits et à reprendre pleinement conscience. Elle avait dormi. C'était encore un de ces rêves. Les rêves inhabituels de Valérie avaient commencé dix nuits plus tôt, juste après le retour d'Hugo de l'université pour les vacances d'été. Elle et Pascal étaient ravis de retrouver leur fils à la maison. Hugo semblait lui aussi très heureux. C'était un génie certifié, qui étudiait les sciences cognitives. Selon Hugo, les études étaient difficiles, même pour lui. Malgré la promesse faite à sa mère de laisser l'école à l'école et de profiter des vacances, il avait tout de même ramené à la maison une valise remplie de papiers et d'expériences sur lesquels il travaillait. Après une nouvelle remontrance de Valérie lui demandant de se détendre pendant l'été, les trois membres de la famille s'étaient assis pour leur premier dîner en famille, et quelques heures plus tard, tout le monde était allé se coucher.

C'est là que tout a commencé.

Le rêve de Valérie cette nuit-là fut si intense qu'elle s'en souvenait encore clairement le lendemain matin. Au début, il n'avait rien de particulièrement obscène. Pendant la première partie de la nuit, son rêve semblait tourner autour de couleurs simples et de bruits vagues qui l'entouraient. Mais au fil du temps, les couleurs ont commencé à se mélanger et à fusionner, créant des formes et des ombres. Les bruits sont devenus de plus en plus distincts. Un monde a commencé à se former devant ses yeux.

Soudain, les sons et les couleurs prirent forme, et ce fut comme si une nouvelle réalité apparaissait à Valérie. Elle regarda autour d'elle, admirant la forêt dans laquelle Hugo et elle avaient marché avec enthousiasme. La lumière du soleil filtrait à travers la canopée dense, projetant des taches de lumière et d'ombre sur le sentier. L'air était chargé de l'odeur des pins et d'autre chose, un musc sous-jacent qui semblait s'échapper de leurs pores, un arôme primitif qui rappelait à Valérie qu'elle était une femme. Une femme sexy et excitée.

À ce moment-là, elle aperçut Hugo debout près d'un ruisseau isolé. Son cœur se mit à battre à tout rompre. La vue de son fils remplit la femme d'excitation. Il était si sexy, si parfait, pensa-t-elle. Le partenaire idéal pour s'amuser un peu.

Souriante, elle s'approcha de l'endroit où il l'attendait, le bruit de l'eau qui coulait en arrière-plan apaisant les battements de son cœur.

« Tu es enfin là », sourit Hugo.

Valérie lui rendit son sourire. « Bien sûr que je suis là. »

Hugo regarda la forêt avant de se retourner vers sa mère. « Maman, c'est tellement beau ici », remarqua Hugo d'une voix grave, ses yeux la dévorant avidement.

Valérie le regarda dans les yeux, un sourire espiègle trahissant les pensées qui dansaient dans son esprit. « Oui, n'est-ce pas ? répondit-elle. Mais tu sais ce qui est encore plus beau ?

— Quoi donc ? demanda-t-il avec un sourire entendu.

Valérie s'approcha, son corps pressé contre le sien. « Toi », murmura-t-elle en enroulant ses mains autour de sa taille pour l'attirer vers elle dans une étreinte intense. Hugo sentait ses seins contre son torse et ses hanches contre son entrejambe. Il était déjà dur, son sexe tendu contre son jean, et Valérie ne manqua pas de remarquer cette sensation. Elle se frotta contre lui, laissant échapper un gémissement.

« Putain, maman », gémit Hugo, ses mains serrant ses fesses, la tirant encore plus près de lui. « Tu sens ça ? C'est ce que tu me fais. »

Valérie se pencha vers lui et lui murmura d'une voix séduisante à l'oreille. « Je sais ce que je te fais, Hugo. J'ai vu la façon dont tu me regardes. » Elle s'écarta légèrement, ses yeux rivés sur les siens. « Et j'aime ça. »

Sur ces mots, elle s'agenouilla, ses mains déjà occupées à défaire sa ceinture. Hugo retint son souffle en la regardant desserrer son pantalon. Sa queue palpitait d'anticipation. Elle le sortit, sa longueur jaillissant, déjà luisante à son extrémité. Valérie leva les yeux vers lui, un sourire malicieux sur les lèvres.

« Tu es tellement plus gros que ton père », remarqua-t-elle en lui donnant quelques coups lents et fermes. « J'ai eu besoin d'une vraie bite pendant si longtemps. »

L'instant d'après, elle le prit dans sa bouche, ses lèvres s'étirant largement pour accueillir son girth. Sa langue travailla son manche, et la femme laissa échapper un gémissement en s'enfonçant sur son fils.

« Oh, putain », gémit Hugo, la tête renversée en arrière, les mains emmêlées dans ses cheveux. Valérie commença à bouger la tête, sa bouche le travaillant avec expertise, sa main agrippant la base de son sexe, le tournant et le caressant au rythme de ses mouvements. Le bruit de ses succions et les bruits humides et obscènes remplissaient l'air, se mêlant aux sons naturels de la forêt qui les entourait.

Les hanches d'Hugo se mirent à bouger, baisant son visage, sa respiration s'accélérant. « C'est ça, maman », haleta-t-il. « Suce ma bite. Tu es tellement douée pour ça. »

Valérie se recula, un filet de salive reliant ses lèvres à sa bite. « Tu as si bon goût, Hugo », dit-elle, la voix rauque de désir. « Je pourrais te dévorer. » Sur ces mots, elle replongea ses lèvres sur son membre, laissant échapper un petit gémissement tandis qu'elle se remettait à le sucer.

« Oh, putain », gémit Hugo quelques minutes plus tard. « Oui, maman, je vais jouir. Je crois que je vais jouir. »

Valérie redoubla d'efforts, fellant son fils de toutes ses forces. Hugo grogna, poussant un cri alors qu'il agrippait les cheveux de sa mère, la tirant vers lui alors qu'il éjaculait, déversant une impressionnante quantité de sperme dans sa gorge avide.

Retirant lentement ses lèvres du sexe d'Hugo, Valérie ouvrit la bouche, montrant à Hugo le sperme qu'elle avait recueilli avant de rejeter la tête en arrière et d'avaler chaque goutte.

« Miam », dit-elle en souriant tandis qu'elle se relevait et remettait ses vêtements en place, un sourire satisfait sur le visage. « J'ai beaucoup aimé ça. »

« Moi aussi », répondit Hugo. « J'ai hâte d'y retourner. »

L'instant d'après, la femme se réveilla dans son lit, allongée à côté de son mari endormi, confuse et dégoûtée d'elle-même.

Elle pouvait à peine regarder Hugo dans les yeux ce matin-là pendant qu'ils prenaient leur petit-déjeuner. Comment avait-elle pu rêver quelque chose d'aussi vulgaire à propos de son fils ? Elle avait déjà fait des rêves érotiques par le passé, et certains d'entre eux mettaient même en scène d'autres hommes que son mari. Mais ça ? S'imaginer à genoux, en train de sucer la bite énorme de son fils, c'était presque suffisant pour lui retourner l'estomac. Les mères ne pensent pas à leurs fils de cette façon.

La nuit suivante, Hugo réapparut dans le rêve de Valérie.

Cette fois, c'était encore plus obscène que la fois précédente. Au début, son rêve commençait comme celui de la nuit précédente, avec Valérie à genoux en train de sucer la bite d'Hugo. Mais au lieu de se réveiller après la fellation, Valérie se penchait cette fois-ci sur une souche au bord du sentier, baissait sa culotte et suppliait Hugo de la baiser. « Plus fort », exigeait Valérie d'une voix rauque tandis que son fils la labourait, la voix rauque.

« Donne-moi plus fort. » Elle supplia Hugo encore et encore de la baiser de plus en plus fort. Elle utilisa le mot « plus fort » tellement de fois dans son rêve que le lendemain, elle faillit recracher son café lorsqu'elle entendit Hugo l'utiliser dans un contexte complètement différent et innocent.

Valérie avait du mal à comprendre pourquoi elle faisait des rêves comme celui-ci. Elle n'avait jamais pensé à son fils d'une manière aussi dépravée et sexuelle. Et ce n'était même pas Hugo qui la séduisait ou la forçait à avoir des relations sexuelles dans ses rêves. C'était elle qui lui avait fait des avances. C'était presque comme si ses rêves faisaient partie d'une réalité alternative où elle désirait désespérément son fils. Tout cela lui semblait tellement mal, et Valérie espérait désespérément que ce qui lui faisait faire des rêves aussi obscènes passerait bientôt.

Cette nuit-là, après s'être endormie, Valérie se retrouva assise sur un banc dans leur église.

C'était un beau dimanche matin, et Valérie portait sa robe bleue préférée, une robe qu'elle portait souvent les dimanches comme celui-ci. Elle fit de son mieux pour se concentrer sur le message du pasteur, mais elle se surprit rapidement à regarder Hugo, assis à côté d'elle dans le banc. Hugo était absolument délicieux dans sa chemise boutonnée et son pantalon habillé. Valérie sentit une envie monter en elle, une envie forte et profonde qui fit naître un sourire sensuel sur ses lèvres. Elle jeta un bref coup d'œil à son mari, qui écoutait attentivement le message. Lorsque son regard se posa à nouveau sur son fils, Valérie sentit son excitation monter et décida de laisser le picotement dans sa chatte guider son prochain geste. Hugo essayait d'écouter le sermon lorsqu'il sentit une légère tape sur son épaule. En se retournant, son regard croisa celui de sa mère, qui le dévorait des yeux.

Valérie fit un signe vers le fond de l'église, puis se leva silencieusement et se glissa devant son mari pour rejoindre l'allée. Hugo la suivit, un sourcil levé.

Les toilettes de l'église étaient faiblement éclairées, et une odeur de carrelage ancien et de savon bon marché flottait dans l'air. Valérie entraîna Hugo dans la petite pièce et verrouilla la porte derrière eux.

« Maman, qu'est-ce que tu fais ? » demanda Hugo, d'une voix mêlée de confusion et d'anticipation.

Valérie se tourna vers lui, les yeux remplis d'un désir lubrique. « J'ai besoin de toi, Hugo. Ici, maintenant. » Elle tendit la main, saisit son entrejambe et sentit qu'il durcissait déjà sous sa touche.

Hugo laissa échapper un halètement, mélange de choc et de désir. « Maman, nous sommes à l'église », murmura-t-il, mais ses protestations étaient faibles. Valérie pouvait le voir dans ses yeux : lui aussi en avait envie. Le corps d'Hugo commença à réagir, son sexe se tendant contre son pantalon.

Valérie ouvrit sa braguette et sortit son membre épais et dur. « Je me fiche de l'endroit où nous sommes. J'ai besoin de ta bite. » Elle le caressa, sa main ferme et assurée. Hugo s'adossa contre l'évier, haletant.

« Putain, maman », gémit-il en poussant ses hanches contre sa main. Valérie sourit à son fils et s'agenouilla. L'instant d'après, elle le prenait dans sa bouche. Elle le suçait avec force, ses lèvres et sa langue le rendant fou. Hugo agrippa l'évier, les jointures blanches, le corps tremblant sous l'effort de se retenir.

Juste avant qu'Hugo ne jouisse, Valérie ralentit, se retirant de lui avec un sourire des plus provocants. Se relevant, elle s'essuya la bouche avec le dos de la main.

« Baise-moi, Hugo. Baise-moi fort. »

Hugo sourit à sa mère. Un instant plus tard, il la fit pivoter et la plaqua contre le mur. Il souleva sa jolie robe et baissa brutalement sa culotte. Valérie haleta, le dos cambré, tandis qu'il passait un doigt le long de sa fente humide. « Tu es tellement mouillée, maman », grogna-t-il en glissant un doigt en elle.

« S'il te plaît, Hugo. Baise-moi », supplia Valérie, le souffle court. Hugo aligna sa queue et la pénétra d'un coup sec. Valérie poussa un gémissement passionné.

Hugo tendit le bras et couvrit sa bouche de sa main. « Tu ferais mieux de ne pas faire de bruit, salope », grogna-t-il à son oreille en lui donnant un autre coup violent. « À moins que tu ne veuilles que toute la congrégation sache que tu n'es qu'un jouet sexuel pour ton fils. »

Valérie laissa échapper un autre gémissement étouffé dans la main d'Hugo alors qu'il commençait à la pilonner. Ses hanches s'abattirent encore et encore contre ses fesses, chaque coup de rein étant violent et profond. Le bruit de leurs chairs qui s'entrechoquaient remplissait la petite pièce, se mêlant à leurs respirations haletantes et à leurs gémissements étouffés. Hugo fit glisser sa main vers le bas, tâtonnant les seins de Valérie à travers sa robe. Son autre main se glissa autour de sa taille, trouvant son clitoris et le frottant au rythme de ses coups de reins. Le corps de Valérie se tendit alors qu'elle sentait son orgasme monter. Soudain, elle jouit violemment, ses muscles internes se contractant autour de lui tandis que son orgasme la traversait par vagues.

Hugo grogna, sentant lui-même la jouissance monter. « Oh, putain, maman », gémit-il. « Je vais jouir. Je vais jouir en toi, ici, dans l'église ! »

Il la pénétra encore quelques fois avant que le plaisir ne le fasse basculer. D'un dernier coup de reins, il s'enfonça profondément dans sa mère, sa queue palpitant alors qu'il jouissait au fond d'elle. Valérie laissa échapper un gémissement, adorant la sensation de son sperme qui la remplissait. Ils restèrent ainsi un moment, leurs corps pressés l'un contre l'autre, leur respiration revenant lentement à la normale tandis que les mains d'Hugo libéraient Valérie de son étreinte.

Valérie le repoussa doucement et se tourna vers lui. Elle remit ses vêtements en place, un petit sourire satisfait sur les lèvres. « Quel vilain garçon », dit-elle dans un souffle à peine audible.

Hugo sourit en rentrant son sexe dans son pantalon. « C'est toi qui as commencé », dit-il avec un petit rire.

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