Comme la plupart des gens, je n'aime pas être hospitalisé, même pour une courte durée. C'était il y a quelques années et j'étais là pour une intervention très simple et courante. Je partageais ma chambre avec une vieille dame appelée Yvonne. C'était une gentille vieille dame, peut-être un peu trop bavarde, mais gentille quand même. Yvonne n'arrêtait pas de me raconter combien de fois elle était venue dans cet hôpital et que la nourriture n'était jamais meilleure. Heureusement, mon mari m'apportait à manger.
Le matin de mon opération, Yvonne dormait encore lorsqu'un jeune médecin est venu me rendre visite. Tout en souriant, il a tiré le paravent qui entourait le lit et a ouvert sa trousse pour en sortir un kit de rasage. Il m'a expliqué qu'il allait devoir me raser un peu le bas du ventre. Le gentil docteur m'a expliqué qu'il n'y avait pas d'infirmière disponible et qu'il préférait que je le fasse moi-même. Je devais toutefois faire très attention à ne pas me couper pour éviter toute infection. Il semblait savoir ce qu'il faisait et était bien sûr très beau. J'ai accepté qu'il le fasse.
Il est parti chercher de l'eau chaude pour son bol et est revenu peu après. Je sais que vous devez me prendre pour une vieille salope, mais dès qu'il a commencé à savonner ma chatte avec son blaireau, ça m'a excitée. Je laissais échapper de petits gémissements de plaisir. Je ne pouvais pas m'en empêcher. Ce n'est pas souvent que ma chatte reçoit l'attention d'un jeune homme. Il devenait de plus en plus évident que j'appréciais cela, beaucoup plus que je n'aurais dû, bien sûr. J'étais juste contente qu'Yvonne soit endormie.
Après la mousse, vint le rasage. La douceur avec laquelle il pressait ses doigts gantés contre mes lèvres pendant qu'il me rasait était presque insupportable. Ce n'est qu'après avoir fini de me raser et m'avoir appliqué un peu d'huile hydratante que j'ai atteint le point de non-retour. Alors qu'il s'apprêtait à retirer ses doigts, je me suis penchée, j'ai attrapé sa main et lui ai demandé de ne pas s'arrêter. Je maintenais ses doigts contre mon sexe et commençais à les faire bouger de haut en bas. Il n'opposait aucune résistance tandis que je poussais ses doigts en moi et atteignais l'orgasme. C'était merveilleux. Il savait exactement ce qu'il faisait. Je devinais que ce n'était pas la première fois qu'il offrait un tel traitement à une jeune femme.
Alors qu'il ramenait ma blouse chirurgicale jusqu'à mes genoux, il m'a dit : « Voilà, c'est terminé. J'espère que vous êtes maintenant complètement détendue et prête pour votre opération, Mme Dubois. »
J'étais effectivement complètement détendue et prête, mais je lui ai dit que je n'étais pas Mme Dubois. Yvonne était dans le lit d'à côté. Je trouvais un peu bizarre de se faire raser le pubis pour une dent de sagesse. Oh là là.
