Charles ajusta la sangle du sac de sport en bandoulière alors qu'il s'approchait de la maison familière. Cela faisait six mois que le divorce avait été prononcé, et il avait trop tardé à venir récupérer ses affaires. Son ex-femme, Anneliese, lui avait envoyé un SMS la veille au soir, insistant pour qu'il passe à 11 heures précises pour récupérer ses cartons dans le garage. Il avait supposé qu'elle serait au travail, comme d'habitude, le laissant s'occuper de cette tâche en toute tranquillité. La porte était ouverte, comme elle l'avait promis, et il entra en lançant un « Bonjour ? » désinvolte.
La maison était étrangement silencieuse au début, mais lorsqu'il a fermé la porte derrière lui, il a entendu un faible bruit provenant de la chambre. Cela ressemblait à des gémissements. Et à des haut-le-cœur. Perplexe, il a appelé à nouveau, plus fort cette fois. « Anneliese ? Tu es là ?
La réponse fut un autre gémissement fort, suivi d'une voix grave et masculine. « Elle ne peut pas parler, mec.
Le cœur de Charles fit un bond. Que diable se passait-il ? Il hésita un instant avant de se diriger vers la chambre, sa curiosité l'emportant sur son bon sens. Lorsqu'il atteignit la porte, il se figea. La scène qui s'offrait à lui était tout simplement surréaliste.
Anneliese était à quatre pattes au milieu du lit, son corps luisant de sueur et... d'autre chose. Elle était complètement nue, ses draps autrefois immaculés étaient maintenant en désordre, tachés de tissu emmêlé et de taches sombres. Cinq hommes tout aussi nus l'entouraient, leurs corps bougeant au rythme des siens. Les yeux de Charles s'écarquillèrent à cette vue. Un homme était sous elle, ses hanches poussant dans sa chatte, tandis qu'un autre était derrière elle, sa grosse bite enfoncée profondément dans son cul, un endroit où Charles n'avait jamais été autorisé à s'approcher pendant leur mariage. Un troisième homme lui agrippait les cheveux, sa bite glissant dans sa bouche alors qu'elle le suçait profondément avec une aisance acquise par l'habitude.
Les yeux d'Anneliese croisèrent ceux de Charles par-dessus l'épaule de l'homme, et elle lui sourit, les lèvres tendues autour du membre. Son dos était éclaboussé de ce qui semblait être plusieurs éjaculations, les traînées brillant sous les rayons du soleil qui pénétraient par la baie vitrée. Charles resta bouche bée lorsqu'il réalisa l'ampleur de la scène. Combien d'hommes avait-elle déjà pris ? Combien de fois avait-elle été remplie ?
Il resta là, paralysé, l'esprit en ébullition tandis qu'il essayait de comprendre ce qui se passait. Ce n'est que lorsqu'il sentit une tension dans son pantalon qu'il réalisa qu'il était en érection. Sa bite tendait contre le tissu de son jean, palpitant au rythme des claquements de chair contre chair. Il n'avait pas remarqué le bruit provenant de la cuisine jusqu'à ce que trois autres hommes nus apparaissent, portant des boissons et riant entre eux. Ils étaient impressionnants, leurs bites se balançant nonchalamment tandis qu'ils retournaient vers la chambre.
Le regard de Charles se posa à nouveau sur Anneliese au moment où l'homme qui la baisait dans la bouche se retirait, sa bite luisante de sa salive. « Joue pour moi, bébé », murmura-t-elle d'une voix rauque mais impatiente.
L'homme se pencha en avant, ses hanches poussant alors qu'il éjaculait dans les airs. Des jets de sperme atterrirent sur son visage, dans ses cheveux, sur ses gros seins et ses tétons gonflés et percés, se mélangeant au désordre déjà présent. La vue était à la fois choquante et enivrante, et Charles sentit sa propre bite se contracter en réponse. Les autres hommes suivirent, leurs mouvements urgents alors qu'ils déchargeaient leur sperme dans sa chatte et son cul.
Anneliese gloussa, son corps tremblant sous la force de leurs orgasmes. Puis, elle fixa à nouveau Charles du regard. « Ça va ? » demanda-t-elle d'un ton désinvolte, comme si c'était la chose la plus normale au monde.
Charles baissa les yeux vers son entrejambe, où son érection était désormais impossible à ignorer. Il marmonna quelque chose d'incohérent, le visage rouge de honte et d'excitation. Avant qu'il n'ait pu répondre, l'un des hommes de la cuisine se glissa derrière Anneliese et enfonça sa bite massive et semi-érigée dans sa chatte remplie de sperme. Un autre pressa son sexe contre son visage, et elle lécha docilement le bout, sa langue tournoyant autour du gland.
« Tes cartons sont dans le garage », dit-elle sans le quitter des yeux. « Oh, et il faut tondre la pelouse. Tu as oublié la semaine dernière. »
Le cerveau de Charles avait du mal à traiter ses mots. « Euh... oui, d'accord. Je vais le faire. Euh... » Il s'interrompit, la voix brisée, tandis qu'il observait à nouveau la scène. Anneliese reporta son attention sur les hommes, changeant de position pour accueillir une nouvelle salve. Charles resta là, la bite palpitante, l'esprit en ébullition.
Comment diable était-il censé tondre la pelouse maintenant ?